Diaporama des élevages bovins de population locale

Diaporama des élevages bovins de population locale
(Source ITELV ALGERIE)
Les populations bovines locales se concentrent essentiellement dans les milieux non accessibles aux races importées à l'instar des zones des montagnes et forestières du Tell et conduites dans le cadre de systèmes sylvo-pastoraux extensifs.
Alimentation du caprin laitier

Alimentation du caprin laitier
- (Source ITELV Algerie)
L’alimentation est l’un des principaux piliers sur lequel est basé tout élevage, notamment l’élevage caprin laitier.
Actions à entreprendre durant le repos végétatif des arbres fruitiers et de la vigne

Durant la période hivernale, les arbres fruitiers et la vigne, rentrent progressivement en phase de dormance. Parallèlement, les insectes et les maladies entament eux aussi, leur phase de repos. Ces nombreux bio-agresseurs hivernent généralement sous les écorces et les fruits momifies restés accrochés aux arbres ou encore tombés sur le sol. Le réveil printanier de ces formes hivernales endommage les feuilles, les rameaux et dégrade les fruits.
Gestion de l'interculture : Quelles stratégies de travail du sol adopter cette année ?
Restructurer des sols tassés, contrôler le développement d’adventices, perturber les populations de limaces… la gestion de l’interculture revêt cette année quelques spécificités dans les régions touchées par les fortes pluies en mai et juin. Le point sur les opérations à mettre en œuvre pour assainir les parcelles selon le type d’interculture.
Dossier Spécial été : autonomie fourragère
Dossier spécialement conçu pour adapter votre stratégie d'autonomie en fourrage.
De la prairie en passant par l'herbe, les cultures de dérobées ou les sursemis de prairie et enfin le Ray-Grass d'Italie vous saurez tout pour faire face aux aléas climatiques et répondre à vos besoins en fourrage même cet hiver !
La fertilisation des prairies
Les principaux éléments fertilisants du sol sont l'azote (N), le phosphore (P) et la potasse (K).
L'azote est le moteur de la production végétale. Il entre dans la constitution des protéines.
Il est un des principaux constituants de la chlorophylle, qui commande l'opération fondamentale de la photosynthèse.
Le phosphore exerce plusieurs rôles physiologiques.
Connaître la valeur nutritive des couverts végétaux
Les couverts végétaux présentent de bonnes valeurs nutritives pour les animaux (96 g PDI/UFL en moyenne). Leur utilisation au pâturage ou en affouragement en vert nécessite toutefois une étude préalable de leur valeur énergétique et azotée ainsi qu’une évaluation de leur risque acidogène.
Une trentaine de cultures intermédiaires ont fait l’objet d’un essai de dégradabilité in sacco (= essai sachet nylon dans le rumen) à La Jaillière (44) : moutarde blanche, radis, millet, moha, avoine strigosa, colza fourrager, RGI, etc.
Les valeurs énergétiques des couverts, estimées à partir des dégradabilités de la matière sèche et des fibres NDF après 48h d’incubation, montrent des valeurs élevées en moyenne à 0,76 UFL.
Faut-il traiter le matin, le soir ou la nuit ?
Pour répondre à cette question, il faut s’intéresser à trois critères : le mode d’action du produit appliqué, la période de l’année et l’absence de vent.
En pulvérisation, tout est une question d’hygrométrie : quels que soient le produit et le volume de bouillie appliqués, il faut viser l’hygrométrie maximale pour limiter les pertes de produit par volatilisation. Et les bonnes conditions d’hygrométrie commencent à partir de 60 %, ce qui est souvent le cas le matin et le soir.
Des logettes alternées qui laissent une place aux tantes
Cet éleveur en Dordogne, a inventé des bat-flancs qui ménagent une place entre les deux veaux, au milieu de la case, pour la tante laitière.
Ceci permet de gagner du temps car les veaux peuvent têter leur mère et la tante dans le même temps, plutôt que l'une après l'autre.
Travail du sol : des effets sur les populations de micro-organismes
Le travail du sol peut modifier l’activité des nombreux organismes qui vivent dans la couche superficielle, des vers de terre jusqu’aux bactéries.
De nombreuses organismes vivants sont présents dans le sol, mais ils ne sont pas tous connus.
Ils assurent diverses fonctions parmi lesquelles le recyclage des éléments minéraux par décomposition des fragments les plus fins de matières organiques restitués au sol. Cette fonction est principalement assurée par les micro-organismes de type bactéries ou champignons.
Les microarthropodes (la mésofaune) transforment de la matière organique fraîche en de la matière organique plus évoluée.
Prévenir la résistance des dicotylédones
Après les résistances développées par les graminées (ray-grass et vulpin), certaines dicotylédones, en particulier le coquelicot, sont devenues résistantes à certains herbicides.
Quels sont les leviers à mettre en œuvre pour réduire la sélection de populations résistantes. Quelles sont les solutions herbicides encore possibles?
Depuis quelques années, des populations de coquelicot résistantes aux herbicides de la famille des inhibiteurs de l’ALS (sulfonylurées par exemple) sont apparues en France. On en trouve désormais dans la plupart des régions françaises. Quelques cas de matricaires résistantes ont également été recensés en Normandie. Des premières populations de stellaires et de séneçons résistants ont aussi été repérées ces deux dernières années.
Quelle est la nuisibilité des mauvaises herbes en céréales à paille ?
Les seuils de nuisibilité des mauvaises herbes sont déterminants pour le raisonnement du désherbage et pour optimiser la rentabilité des applications. Mais ils ne représentent que des valeurs indicatives car de nombreux facteurs en modifient leur degré. L’utilisation stricte de ces seuils peut conduire à des situations difficiles voire catastrophiques et ce d’autant plus lorsque l’agriculteur est confronté à des adventices résistantes. Ces seuils ne prennent en compte que le préjudice direct sur la culture. Or, les effets indirects des mauvaises herbes comme l’évolution du stock semencier sont d’une importance capitale.
Désherber vos cultures avant de fertiliser
Fertilisation et désherbage sont certes indépendants d’un point de vue technique, mais les deux sont liés agronomiquement : si l’azote est apporté sur une culture non désherbée, celui-ci bénéficie autant aux adventices qu’à la culture.
Afin de préserver le rendement de la culture et optimiser l’efficacité des herbicides, il est essentiel de désherber avant, ou dans les jours suivants le premier apport d'azote. Les désherbages précoces préservent le rendement de la culture, surtout par levée précoce de la concurrence des adventices mais aussi par l’optimisation de la fertilisation de la culture.
Quand arrive l'heure du vêlage
Différents facteurs influencent la durée de gestation, mais c'est bien le veau qui déclenche lui-même le moment de la mise bas ... quand il est prêt!
La durée de la gestation d'une vache est en moyenne d'environ 280 jours, soit 9 mois et 10 jours. Plusieurs facteurs peuvent faire cette durée. Du côté de la mère mais aussi du veau.
Du côté de la mère. Il existe une variation liée à la race: la durée de gestation peut ainsi varier de 277 jours (Holstein) à 295 jours (Blonde d'Aquitaine). Charolaises et Limousines sont plutôt à 290 jours, Aubrac et Salers aux alentours de 285 jours. Mais même au sein d'une même race, il peut y avoir de légères différences entre les individus. Une première gestation est en moyenne moins longue de 2 à 3 jours par rapport à la "norme".
Allaitement des veaux : respecter le mode d'emploi
La réussite de la phase lactée est primordiale pour l'avenir de la génisse laitière.
Il y a plusieurs manières d'y parvenir, à condition de respecter les préconisations pour chacune.
Le chiffre pose question. Une enquête réalisée par des organismes de conseil en élevage a montré que seulement un tiers des éleveurs (sur 400 réponses) distribuaient du lait à la bonne température à leurs veaux. Les fondamentaux de l'élevage des petites génisse sont pourtant bien connus. Ils ont été rappelés lors du'une journée technique organisée dans la Loire en novembre dernier. Tous les intervenants l'ont dit et redit : " Avant toute chose: le colostrum ". Les bonnes quantités et le plus tôt possible, à savoir « deux litres dans les deux premières heures de vie et au moins quatre litres au total dans les douze heures ».
Intérêt du tarissement sur 6-8 semaines
Caractérisée par une absence de production de lait, la période de tarissement ou « période sèche » chez la vache laitière s’étend de la fin de la lactation jusqu’au vêlage suivant. En fonction de sa durée, courte (près de 30 jours) ou longue (près de 60 jours), les effets sur le lait produit à la lactation suivante, ainsi que sur la vache, ne sont pas les mêmes. L’intérêt principal du tarissement long est de « recharger » la vache pour redémarrer une lactation dans les meilleures conditions.
Le cycle de production d’une vache laitière peut être divisé en deux grandes périodes : la période de lactation et celle de tarissement. Celle-ci est une étape cruciale qui conditionne le bon déroulement de la lactation suivante. Bien qu’elle soit au repos, la mamelle doit régénérer son tissu mammaire et se préparer à produire du colostrum, puis du lait en quantité et en qualité.
Gestion raisonnée de la grande douve en élevage laitier
La gravité des impacts zootechnique et sanitaire de la grande douve rend indispensable son contrôle. La restriction d’usage des douvicides en élevage laitier conforte l’importance du conseil des vétérinaires auprès des éleveurs.
L’approche globale du risque est nécessaire pour proposer aux éleveurs des protocoles de gestions agronomique et chimio thérapeutique.
Seules les options de traitement des animaux à risque sur la période du tarissement jusqu’au vêlage et/ou à l’occasion d’une autre indication d’écarter le lait (mauvais état général de l’animal douvé ou autre indication de traitement) sont actuellement justifiées et possibles.
Adapter la conduite du pâturage à la sécheresse
Les prairies souffrent du manque de pluie et des fortes chaleurs de ces dernières semaines. La saison de pâturage se termine prématurément. Dans ces conditions, quelques préconisations sont recommandées pour limiter les dégâts sur les bovins : gestion des lots, complémentation des veaux, sevrage précoce, arrêt du pâturage…
Les prairies souffrent du manque de pluie et des fortes chaleurs de ces dernières semaines. L’herbe grille, jaunit et les parcelles sont très souvent surpâturées.
Même si des pluies significatives venaient à faire leur apparition (plus de 30 mm), la repousse de l’herbe serait longue (3 à 4 semaines) et ce d’autant plus que nous sommes en pleine période estivale.
Comment s’élabore le rendement des céréales à paille ?
Le rendement des céréales à paille est la combinaison de plusieurs composantes : densité de plantes, tallage épi, fertilité épi, PMG (poids de mille grains). Chacune d’elles s’élabore au cours d’une phase différente du cycle de la culture ; elles interagissent donc en cascade, sous l’influence supplémentaire du milieu (climat, sol, conduite culturale).
l’azote liquide apporté fin montaison peut brûler les feuilles
Pour les apports en fin de montaison, l’azote liquide est moins efficace que les autres formes d’azote et il provoque assez souvent des brûlures sur les dernières feuilles, notamment en cas d’utilisation de buses inadaptées. Ces symptômes sont toutefois sans conséquence sur le rendement.
Résultats économiques des systèmes herbe
Résultats économiques des systèmes herbeLes éleveurs herbagers disposent de 8.400 € de revenu en plus avec moins de lait
Source: Robin Vergonjeanne de Terre-net Média
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